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L’hiver est sur le point de céder sa place au printemps. Mais celui de 2025 ne devrait pas être comme les autres. Car la météo annonce déjà qu’il devrait être très très chaud.
Vers un printemps chaud et sec ?
Avec les jours qui rallongent et les températures qui grimpent peu à peu, pas de doute, la belle saison approche ! Le début printemps sera en effet officialisé ce 20 mars 2025.
Mais la météo va-t-elle pour autant s’accorder avec le changement de saison ? En effet, selon les premières tendances météorologiques qui commencent à se dessiner, ce printemps pourrait être anormalement chaud.
Les conditions anticycloniques plus fréquentes que la normale sur l’ensemble du pays et de l’Europe devrait favoriser un ensoleillement important sur tout le pays.
Selon les experts météo, il faut donc s’attendre à un début de printemps 2025, plus chaud et sec. Ce qui entrainera aussi un déficit pluviométrique sur une large partie de la France.
Cette douceur généralisée n’est pas sans conséquence sur les sols. Car elle pourrait accroitre la sécheresse si les déficits hydriques se prolongent jusqu’à l’été.
De plus, un début de printemps trop chaud peut aussi endommager les cultures. La chaleur pourrait faire alors fleurir certaines plantes et arbres plus tôt que d’habitude. Ce qui aurait pour conséquences le gâchis des récoltes si un gel tardif survenait.
Cependant, les experts météo préfèrent pour l’instant se montrer prudents. Car il ne s’agit que de prévisions. Ces derniers soulignent que des variations de températures pourraient exister, mais que ces tendances restent pour le moment assez incertaines.
De plus, il n’est pas exclu que des épisodes ponctuels plus froids ou plus humides se fassent sentir dans certaines régions. Comme les fameuses giboulées qui pourraient entrainer de la pluie, de la neige ou même de la grêle.
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Un été sans canicule ?
Ces brusques changements de temps ne sont toutefois pas étrangers au changement climatique. Ce dernier continue d’avoir un impact non négligeable sur des hausses de températures et les orages violents.
Cette météo chamboulée peut aussi être le résultat du phénomène El Niño qui se traduit par un réchauffement des eaux de l’océan Pacifique équatorial. Ce qui entraine une hausse du mercure dans de nombreuses régions du monde.
S’il est encore trop tôt pour connaitre le sort que nous réserve la météo printanière, les experts se sont tout de même avancés à prévoir ce que pourrait aussi être l’été 2025.
Concernant la saison estivale, les premiers résultats ne prévoient pas d’épisode caniculaire. Si les températures pourront sans doute grimper de manière ponctuelle, il ne devrait pas y avoir d’excès majeurs.
Les personnes vivant en zones urbaines devront néanmoins faire preuve de vigilance. Car en raison des infrastructures (bâtiments, routes, etc.), ces dernières tendent à absorber et à retenir la chaleur, plus que dans les zones rurales.
Globalement, les mois de juillet et août devraient ainsi connaître des températures maximales moyennes autour de 25 °C et des minimales près de 15 °C. Les précipitations seront aussi au rendez-vous et devraient représenter environ 19 % de pluviométrie.
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L’été 2025 devrait somme toutes se situer dans la moyenne du côté de la météo. Les prévisions n’estiment pas à ce stade de l’année que celui-ci sera caniculaire comme ont pu l’être les étés 2003, 2006, 2019, ou encore 2022.
Il faudra néanmoins affiner dans les semaines et mois à venir ces tendances pour confirmer l’absence de canicule pour la période estivale.
Crédit photo © DivertissonsNous
