CAF: critères et conditions pour toucher cette aide de 176,79 euros en plus

La CAF propose pléthore d'aides chaque mois. Et parmi elles, un coup de pouce de 176,79 euros que vous pourriez toucher sous condition.

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En 2024, le gouvernement a mis un point d’honneur à ce que les Français soient accompagnés dans toutes leurs démarches. C’est dans ce contexte qu’est né ce coup de pouce de la CAF 176,79 euros a vu le jour.

Des aides de la CAF revues à la hausse

Depuis le dimanche 1ᵉʳ octobre 2023, une nouvelle augmentation des Aides Personnalisées au Logement CAF (APL) a été mise en place pour les locataires. Elle se veut aussi accessible aux sous-locataires et résidents en foyer.

Cette augmentation de 3,5 % se veut basée sur l’Indice de Référence des Loyers (IRL). Elle vise principalement à compenser la hausse des loyers afin de préserver le pouvoir d’achat des bénéficiaires.

Il est donc important de noter que cette revalorisation ne sera pas uniforme sur l’ensemble du territoire. En métropole, le taux sera de 3,5 %, tandis qu’en Corse, une variation entre 2 % et 3,5 % est à prévoir.

Enfin, en Outre-Mer, le pourcentage se voudra plafonné à 2,5 %. Pour bénéficier de cette revalorisation, aucune démarche n’est nécessaire, car elle sera automatiquement appliquée par la CAF et les caisses de la Mutualité Sociale Agricole (MSA).

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En 2022, les aides au logement avaient donc déjà connu une revalorisation de 3,5 %, effective dès le 1ᵉʳ juillet de la même année. Cela fait ainsi écho à l’urgence de l’inflation. Dans le cadre de la loi relative au pouvoir d’achat adoptée en août 2022.

Pour ceux bénéficiant de la Réduction de Loyer de Solidarité (RLS) au sein du parc social, une bonne nouvelle les attend également. Depuis le 1ᵉʳ octobre, cette aide augmentera de 45,08 € à 54,51 € par mois en fonction de la zone de résidence.

Des aides de plus en plus nombreuses

Au sein des nombreuses aides sociales CAF, la prime d’activité est reine. En effet, cette dernière occupe une position centrale en visant à soutenir l’activité professionnelle et à accroître le pouvoir d’achat.

D’ailleurs, vous l’ignoriez sûrement, mais le cumul entre la prime d’activité et les allocations chômage est envisageable. Cependant, des conditions spécifiques sont à respecter.

Si vous perceviez déjà la prime d’activité avant de devenir chômeur, il est possible de la recevoir pendant les trois premiers mois suivant votre inscription à Pôle Emploi. Par ailleurs, si vous exercez une activité professionnelle. En parallèle de votre période de chômage et que vos revenus sont modestes, vous pourriez également être éligible à cette prime.

En ce qui concerne la prime d’activité et les APL, il est crucial de comprendre l’interaction entre ces aides. Le montant des APL se veut pris en compte dans le calcul de la prime d’activité, mais de manière forfaitaire.

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La CAF a d’ailleurs ajouté un montant fixe, appelé forfait logement, aux revenus du bénéficiaire. Cette dernière influe ainsi directement sur le calcul de la prime d’activité.

Une prime d’activité de la CAF d’un montant de 176,79 euros par mois

D’ailleurs, les stagiaires ne sont généralement pas éligibles à la prime d’activité. La raison se dit simple, leur gratification de stage ne se veut pas considérée comme un revenu d’activité.

Cependant, si le stagiaire exerce une activité rémunérée en parallèle de son stage, avec un salaire dépassant un certain seuil, il peut prétendre à la prime d’activité. En effet, les règles sont différentes dans ce cas précis.

Si le stagiaire a la charge d’un enfant, cela ouvre aussi la voie à cette aide financière CAF. De plus, la prime d’activité se veut maintenue pendant un arrêt maladie, mais sa durée influence son calcul.

Pour les arrêts de moins de trois mois, les indemnités journalières se disent considérées comme des revenus d’activité. Au-delà de trois mois, ces indemnités deviennent des revenus de remplacement. Et elles ne se veulent plus prises en compte pour le calcul de la prime d’activité.

Cette aide peut donc atteindre la somme de 176,79 euros par mois. Cette distinction est cruciale pour comprendre le maintien ou l’arrêt du versement de la prime en cas de maladie prolongée.


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