Cette question du Code de la route peut vous faire rater le permis de conduire

Le Code de la route est une étape obligatoire pour passer à la conduite. Seulement, certaines questions sont plus dures que les autres.

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Le Code de la route est un document qui permet aux Français de prendre des leçons de conduite pour passer le permis de conduire. Seulement, son obtention peut être parfois compliquée, car certaines questions sont très dures à répondre

Le Code de la route, un passage obligé

En France, le Code de la route va connaître plusieurs modifications au cours de l’année. Cet ensemble de règles a pour but d’assurer la sécurité routière en régulant la circulation des véhicules et des piétons.

Le permis de conduire se veut bien sûr obligatoire pour circuler sur les routes françaises. Et il existe différentes catégories selon les types de véhicules, allant de A pour les motos à B pour les voitures.

La connaissance de la signalisation routière est un prérequis essentiel avant de prendre le volant. Cela implique de s’exercer sur la reconnaissance des panneaux de signalisation, des feux tricolores et des marquages au sol grâce au Code de la route.

Les panneaux peuvent se voir informatifs, réglementaires ou indiquer un danger. Historiquement, le Code de la route sert de base pour l’apprentissage de la conduite.

Il permet aux futurs conducteurs de se familiariser avec la signalisation et les règles de circulation. Le code comprend notamment des informations sur les limites de vitesse autorisées, comme les 130 km/h sur autoroute.

Ainsi que des règles de priorité aux carrefours. La conduite en état d’ébriété ou de drogues est strictement interdite, avec des sanctions sévères en cas d’infraction.

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Des réformes en cours

Depuis le 1ᵉʳ janvier 2024, l’épreuve théorique du permis de conduire a évolué avec des questions plus simples. La dernière réforme du Code de la route, en septembre 2023, visait à simplifier les formulations complexes.

Et ce, tout en mettant l’accent sur l’apprentissage des fondamentaux, surtout la signalisation. L’examen reste constitué de quarante questions, avec un seuil de réussite fixé à trente-cinq bonnes réponses.

Les frais d’inscription demeurent abordables, à 30 euros, et il se dit possible de passer l’examen dans un centre agréé. Ou bien de suivre la formation en ligne.

Les récentes modifications ont simplifié le vocabulaire et ajouté des questions sur les nouvelles technologies d’assistance à la conduite. Désormais, les scénarios présentés lors de l’examen incluent des perspectives variées.

Celles des motocyclistes, cyclistes, utilisateurs de trottinettes, piétons. Et même chauffeurs de poids lourds. Cependant, en 2023, la fraude au Code de la route reste un sujet sensible, alors le gouvernement a décidé d’agir.

Toutefois, sachez qu’il y a des questions faciles et d’autres bien plus complexes. Parmi les 40 questions de l’examen du Code de la route, certaines sont redoutées, et à juste titre.

Pour réussir, les candidats doivent donc fournir au moins 35 bonnes réponses, ce qui laisse peu de place à l’erreur. Surtout lorsqu’une question enregistre un taux de 87,2 % de mauvaises réponses.

Cette question au Code de la route est complexe

Ce chiffre, relevé par En Voiture Simone, première auto-école en ligne agréée en France concerne une question qui, étonnamment, ne touche pas directement à la conduite. Ce qui pourrait expliquer pourquoi elle déroute autant.

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Si vous avez passé votre permis il y a plus de dix ans, vous n’avez probablement jamais été confronté à cette question. Car elle se réfère à une réglementation entrée en vigueur en 2017 : la vignette Crit’Air.

Ce dispositif, peut-être déjà collé sur votre pare-brise, classe les véhicules selon leurs émissions polluantes. Cela conditionne ainsi leur accès à certaines zones, comme les zones à faibles émissions (ZFE) des grandes villes.

Mais savez-vous vraiment comment cette vignette se veut attribuée ? Quels critères se voient pris en compte pour déterminer si votre véhicule est peu ou très polluant ?

Voici la question posée aux candidats : « La catégorie Crit’Air de ma voiture dépend : A. de son numéro d’immatriculation B. de sa date de mise en circulation C. de sa motorisation D. de ses rejets de CO₂ ».

Les réponses correctes sont les B et C. En effet, l’obtention de la vignette Crit’Air dépend uniquement de l’année de mise en circulation du véhicule et de sa motorisation (essence, diesel, électrique…). Fait surprenant, les émissions de CO₂ ne se veulent pas prises en compte.

Cette question restera donc un piège redoutable pour les candidats au Code de la route dans un avenir proche. La méfiance est donc de mise.


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