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L’année dernière, la France entière s’émouvait de la disparition de la jeune Lina. Pour rappel, cette dernière n’a plus donné de signes de vie alors qu’elle se rendait à la gare de Saint-Blaise-la-Roche, ans le Bas-Rhin.
La disparition de Lina
Le 23 septembre 2023, la jeune Lina prenait la route pour se rendre à la gare, afin de retrouver son petit ami. Elle a marché pendant plusieurs minutes sur la route départementale qui relie Plaine à la gare.
Le maire de la ville a d’ailleurs précisé à nos confrères de TF1 qu’il avait aperçu la jeune fille sur la route. En revanche, il s’est inquiété lorsqu’il n’a pas revu cette dernière sur le retour.
Pourtant, il a expliqué qu’il y avait une vingtaine de minutes de marches entre le village et la gare. Il a alors fait part de son étonnement lorsqu’il n’a pas trouvé la jeune adolescente sur la route du retour.
Et le moins que l’on puisse dire, c’est qu’il avait raison de s’inquiéter. Et pour cause, Lina a disparu sur cette fameuse route. Malgré un large dispositif de recherches mis en place, les autorités n’ont pas retrouvé la principale intéressée.
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Finalement, c’est le 16 octobre dernier que les forces de l’ordre ont retrouvé son corps sans vie, « immergé dans un cours d’eau ». Et ce, près de Nevers, dans la Nièvre. Une terrible découverte.
« Les analyses sont en cours »
C’est à plus de 400 km de chez elle que Lina a finalement été retrouvée. En revanche, de nombreuses questions sur cette découverte reste pour l’instant sans réponse. Mais l’autopsie réalisée devrait en dire plus sur son décès.
Plusieurs indices donnent d’ailleurs de l’espoir aux gendarmes. Ces derniers veulent à tout prix élucider ce terrible drame. En revanche, ils doivent attendre les résultats de l’expertise médico-légale réalisée par les médecins légistes.
Les autorités travaillent tout de même sur les indices trouvés près du corps de Lina. En effet, une source proche de l’enquête a confié à BFMTV qu’elles avaient découvert « un reliquat de vêtements a également été retrouvé« .
Avant de préciser aussi : « Les analyses sont en cours ». De nombreux indices pourraient alors se retrouver sur ces pièces à conviction. C’est notamment le cas d’un ADN ou encore de sang.
Les enquêteurs ont d’ailleurs évoqué la piste d’un second suspect. Pour rappel, le premier reste Samuel Gonin, âgé de 43 ans et ancien professeur dans un lycée professionnel de Besançon.
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Ce dernier est le principal suspect dans cette affaire. En revanche, les gendarmes ne pourront jamais l’interroger puisqu’il a décidé de se donner la mort le 10 juillet dernier. Malgré tout, il a semé quelques indices sur son chemin.
Un deuxième suspect ?
Dans la plus grande discrétion, les forces de l’ordre avaient retrouvé la voiture dans laquelle Lina est montée. Il s’agit d’une Ford Puma grise, volée en Allemagne. Elle a permis aux enquêteurs de retrouver le sac de l’adolescence.
Les forces de l’ordre ont alors mis la main sur tous ses objets personnels, mais pas sur son téléphone portable. De plus, le coffre a révélé que l’ADN de Lina s’y trouvait. Il y a un autre élément qui étonne les autorités.
Elles ont trouvé l’ADN de Lina sur le siège arrière et sur le bouton de la ceinture. Les forces de l’ordre se demandent pourquoi elle n’a pas pris place à l’avant. Il se pourrait bien qu’un autre suspect ait participé au meurtre de la jeune femme.
