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Dès le 1ᵉʳ janvier 2025, les conducteurs vont devoir s’habituer à de nouvelles règles sur la route. Un tournant majeur se profile en matière de limitations de vitesse. Alors prudence !
Des changements sur les routes et autoroutes
À partir du 1ᵉʳ janvier 2025, il va y avoir plein de changements sur la route. Ces derniers ont pour but d’améliorer la sécurité routière… Et de réduire la pollution.
Après avoir mené des études, les autorités ont donc décidé de revoir à la baisse des seuils de vitesse sur divers types de routes. L’objectif est simple, il s’agit d’inciter les usagers à adapter leur conduite.
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Le but final est donc de limiter les accidents mortels. Et aussi de respecter Dame Nature. Si cette réforme est loin de faire l’unanimité, elle promet tout de même de bousculer les habitudes des automobilistes.
En effet, ce projet a fait couler de l’encre lors des débats. Mais la décision est ainsi, les routes, et certaines autoroutes, vont connaître un ajustement des limitations de vitesse. Il va y avoir une nouvelle signalisation. Et elle sera bien plus claire.
Ainsi, l’Etat veut donc réduire d’au moins 20 % les accidents à cause de la vitesse. Il veut aussi diminuer l’impact écolo des trajets. Parmi toutes les modifs’, il y a donc une baisse de la vitesse max sur des routes secondaires.
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Celles-ci seront donc limitées à 70 km/h au lieu de 80 km/h. Et ce, afin de réduire le risque d’accidents. Sur les routes nationales, il pourrait y avoir des seuils entre 80 et 90 km/h.
Tout dépendra de la qualité de la route, et de la densité du trafic. Ainsi que de la proximité de zones urbaines. Les conducteurs devront donc être très vigilants. Ils devront faire attention à tous les nouveaux panneaux.
Des limitations de vitesse encadrées
Et qu’en est-il du côté des autoroutes ? Si la vitesse max’ reste fixée à 130 km/h, il va tout de même y avoir du changement en périphérie des grandes villes. Ainsi que dans les zones sujettes à des conditions météo difficiles.
La vitesse pourrait donc être à 110 km/h, voire 100 km/h. Le but est de mieux gérer les flux aux heures de pointe. Cela permet aussi de réduire les émissions polluantes.
L’Etat justifie ces mesures par la nécessité de préserver la qualité de l’air. Puis de limiter la congestion et d’améliorer la qualité de vie des usagers comme des riverains.
Des études ont montré que le fait de baisser la vitesse de quelques km par heure sur de longs trajets pouvait bel et bien limiter les rejets de CO2 et de particules fines.
Pour accompagner ces changements, l’Etat a donc prévu un plan d’action complet. Une campagne d’info a été lancée pour préparer au mieux les conducteurs aux nouvelles limitations de vitesse.
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À cela s’ajoutent aussi des pubs radio, et sur les réseaux. Ainsi que dans les médias locaux. Sur le terrain, il y a déjà une signalisation provisoire… Et des panneaux bien visibles. Ils guident les conducteurs pendant les premiers mois.
La police sera aussi mobilisée pour accompagner, conseiller et pour rappeler ces nouvelles limitations de vitesse. Une chose est sûre, les assos de conducteurs sont mitigées.
Si certains saluent une mesure qui devrait réduire la mortalité sur les routes, d’autres déplorent une atteinte à la liberté de circuler. Ils dénoncent une hausse du temps de trajet et un sentiment de « régression ».
Alors, vous l’avez compris, il est grand temps de vous préparer dès le 1ᵉʳ janvier 2025 à ces nouvelles limitations de vitesse.
