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Leclerc, l’un des géants de la distribution en France, continue d’affirmer sa position de leader en 2024. Malheureusement, un récent scandale a éclaboussé la marque de supermarché…
Le succès de Leclerc traverse les années
Fondé en 1949 par Édouard Leclerc, le groupe Leclerc a su s’adapter aux évolutions du marché. Et aux attentes des consommateurs pour devenir l’un des acteurs incontournables de la grande distribution.
Son modèle économique, centré sur l’innovation, la compétitivité et l’engagement local, lui permet de maintenir sa place de numéro un dans le secteur. En 2024, Leclerc domine toujours le marché de la grande distribution en France.
Avec une part de marché avoisinant les 22 %. Ce succès est le fruit de stratégies bien pensées, telles que des prix bas, une gestion des marges optimisée et des campagnes de communication efficaces.
L’enseigne a su s’imposer comme une alternative accessible aux consommateurs. Grâce à des prix souvent inférieurs à ceux de ses concurrents directs.
Leclerc a toujours fait de la politique des prix une de ses priorités. L’enseigne applique une stratégie de prix bas garantis, qu’elle accompagne par des promotions régulières.
Cette politique a renforcé sa réputation d’enseigne offrant des produits de qualité à des tarifs compétitifs. Ce qui attire ainsi une clientèle large et fidèle.
L’innovation au cœur de la stratégie
L’innovation se veut également un pilier du succès de Leclerc. En 2024, l’enseigne se distingue par son expansion du e-commerce, avec des services de livraison à domicile et de retrait en drive qui connaissent une forte croissance.
Elle a aussi investi dans des solutions numériques pour faciliter l’expérience d’achat. Comme des applications mobiles performantes et des caisses automatiques.
Leclerc a aussi développé un réseau de drive piéton dans les grandes villes. Cela permet donc aux consommateurs de récupérer leurs courses sans voiture, ce qui répond à la demande croissante des citadins pour des solutions pratiques et écologiques.
En France, Leclerc se positionne aussi comme un acteur engagé dans le soutien aux producteurs locaux et au développement durable. En 2024, l’enseigne met en avant une gamme de produits bio et locaux, qui répond aux attentes croissantes des consommateurs.
Mais, en outre, Leclerc a lancé plusieurs initiatives pour réduire son empreinte carbone. Comme la diminution des emballages plastiques et la promotion de produits issus de l’agriculture durable.
Leclerc bénéficie aussi d’un modèle coopératif unique en France. Ce qui lui permet de maintenir une certaine indépendance face aux grandes chaînes internationales.
L’art de se foutre de la gueule des gens. pic.twitter.com/VjF4tgUtxG
— Valentin Couhet (@CouhetValoff_1) December 26, 2024
Leclerc face une récente polémique
Le 26 décembre dernier, un internaute a exprimé sa colère sur X. En cause, une arnaque provenant d’une étiquette sur une barquette de viande vendue par l’enseigne.
L’étiquette, datée du 17 décembre 2024, indique que la viande provient de Nouvelle-Zélande. Mais, elle arbore néanmoins le logo Viande ovine française.
L’internaute se demande si c’est un bug informatique ou une vérité dérangeante. Un problème déjà survenu en février dernier dans ce même supermarché, lorsqu’un autre internaute a partagé l’étiquette de sa bavette de bœuf.
L’étiquette indiquait que la viande était abattue en Irlande, bien que le logo Viande bovine française y figure. Après la plainte, E.Leclerc avait expliqué qu’il s’agissait d’une erreur d’étiquetage due à une nouvelle balance.
À voir Leclerc annonce une très bonne nouvelle à tous les Français avec une baisse des prix en 2025
Cependant, le même problème est réapparu en décembre, ce qui a soulevé des interrogations. L’erreur concerne-t-elle l’origine de la viande ou le logo viande française ?
Les consommateurs se montrent de plus en plus sceptiques. « C’est comme pour les canards élevés à l’étranger, mais vendus comme viande française », déplore un internaute sur X.
D’autres suggèrent qu’il s’agissait simplement d’un oubli de suppression du logo. Une telle erreur, si elle se répète, pourrait être considérée comme une pratique commerciale trompeuse.
Les internautes, furieux, parlent d’« escroquerie » et expriment leur déception face à ces erreurs répétées. « C’est une honte pour les éleveurs français », affirme un internaute.
Crédit photo © Leclerc
