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Les objets que l’on utilise couramment au quotidien et que l’on trouve dans notre nid le plus sûr, notre maison, hébergent en réalité des millions de micro-organismes voire de bactéries qui ne sont pas vraiment sains pour notre bien-être. Dans les lignes de cet article, nous vous révélons le secret pour éviter les problèmes et désinfecter cet article du mieux possible.
Les bactéries et les germes dans nos maisons
À la maison, comme partout ailleurs, nous sommes entourés de bactéries, de virus et de champignons avec lesquels nous pouvons, heureusement, vivre tout en maintenant un environnement propre.
Le problème se pose cependant lorsque la poussière, la saleté et le manque d’hygiène domestique favorisent l’émergence de germes que notre système immunitaire est incapable de combattre. Ce qui met alors en danger notre santé.
Pour cette raison, il est nécessaire de prendre quelques précautions simples à la maison pour un nettoyage correct des environnements dans lesquels vous vivez.
En effet, quelques règles simples suffisent pour maintenir une maison hygiéniquement adéquate et prévenir l’apparition d’infections désagréables.
L’hygiène domestique est très importantes et 5 règles fondamentales s’imposent !
Pour éviter le plus possible la présence de bactéries, vous devez, en effet, au minimum, respecter ces 5 règles :
– Lavez-vous les mains
– nettoyez et désinfectez à fond la cuisine et la salle de bain
– aérez toutes les pièces de la maison
– cuisez les aliments proprement et en toute sécurité
– prenez soin correctement de vos animaux de compagnie
Dans le cadre d’une étude américaine, il a été demandé à des volontaires de ne pas laver un objet précis pendant un mois et de le tamponner chaque semaine. Des experts ont ensuite prélevé et analysé des échantillons. Ceux-ci ont alors révélé la présence de bactéries, d’acariens, d’allergènes microscopiques…. Et cet objet, est, de surcroit, en contact avec notre visage au quotidien.
Des bactéries sur quel objet du quotidien ?
Cet objet n’est autre que l’oreiller et plus précisément la taie de ce dernier. Le résultat des analyses est catégorique :
« Vos taies d’oreiller peuvent être parfois plus sales que les toilettes. En termes de bactéries, après une semaine sans lavage, il y avait 17. 000 colonies de bactéries de plus sur une taie d’oreiller par rapport à la lunette des toilettes », a alors expliqué le Docteur Gareth Nye auprès de Wales Online que le site L’internaute a relayé.
Alors que nous passons un tiers de notre vie à dormir, la salubrité de notre lit (Taies. Draps. Oreillers. Couvertures) est aussi importante pour notre santé que la qualité du sommeil pour notre bien-être psychophysique.
Cellules mortes, cheveux, sébum et sueur… Toutes ces matières provenant de notre corps se déposent alors sur les tissus et donnent vie à des colonies de bactéries, qui se développent grâce à l’environnement chaud et humide que notre présence au lit génère.
Une entreprise américaine qui produit des matelas, des oreillers et des accessoires de lit a mené une curieuse enquête pour démontrer l’importance de laver fréquemment le linge de lit, avec la participation d’un groupe de bénévoles.
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En effet, ces derniers ont dormi pendant quatre semaines dans leur propre lit sans jamais changer les draps. À la fin de chaque semaine, les chercheurs ont analysé la quantité et la nature des bactéries présentes sur les taies d’oreiller et les draps. Les résultats étaient tout simplement choquants !
Plus de bactéries sur les sièges de toilettes
Après la première semaine d’utilisation, les taies d’oreiller et les draps abritaient respectivement… Trois et cinq millions de colonies de bactéries.
En pratique, la taie d’oreiller contenait 17 fois plus de bactéries que le siège des toilettes. Tandis que les draps abritaient, eux, 24 fois plus de colonies bactériennes présentes sur la poignée de porte de la salle de bain.
Au fil des semaines, les taies d’oreiller ont atteint une présence de bactéries de 5,98 millions la deuxième semaine, 8,5 millions la troisième. Et enfin 11,96 millions à la fin de la quatrième semaine.
Pire encore ! Des champignons peuvent s’y développer. « Une étude a révélé qu’un oreiller typique contenait jusqu’à 16 espèces différentes de champignons », a affirmé le Docteur Gareth Nye.
C’est donc précisément à la lumière de ces étude qu’il apparaît clairement que 17. 000 colonies de bactéries pourraient se retrouver dans notre lit. Car les humains libèrent entre 500 et 700 millilitres de sueur pendant la nuit. Dont 200 pourraient aussi se retrouver dans nos pyjamas.
En produisant d’autres sécrétions, auxquelles s’ajoute la perte de salive… On peut alors courir des risques sanitaires absurdes ! Avec au premier plan les allergies et l’asthme .
